Après le passage de la frontière chilienne - avec vérification des bagages aux rayons X, des fois qu'on voudrait envahir le sol chilien de graines, fruits, légumes ou aliments dangereux pour la nature et l'agriculture locales -, traversée express du détroit de Magellan en 15 minutes de ferry (photo) et arrivée sur le continent. 2 heures de route supplémentaires à travers des steppes vides d'êtres humains mais parsemées de quelques guanacos (des cousins des lamas) et ñandus (des cousins des autruches), pour se retrouver à Punta Arenas, une ville sans grand charme au bord du détroit.
Et là, c'est l'horreur. On se gèle. Il ne fait pas si froid que ça au thermomètre, mais il y a un vent terrible qui me ferait presque regretter le climat d'Ushuaia. D'ailleurs, personne ne s'y trompe : les locaux sont en anorak et bonnet. Et je vous rappelle qu'on est en plein été !
 
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire