lundi 14 décembre 2009

Buenos Aires, 1re impression

Je n'ai pour l'instant rien visité en 3 jours à Buenos Aires et je ne me suis pas beaucoup promenée en ville. Qu'ai-je donc fait ? Vous le verrez dans les prochains articles.
Donc voici les quelques mots qui me viennent à l'esprit comme première impression de la capitale argentine :
megapole
arboré
stress
agitation
métro
escalator
radiateur (j'ai revu un radiateur, objet que j'avais perdu de vue depuis 8 mois. Je l'ai même pris en photo tellement ça m'a étonné !)
circulation
architecture
marchés
culture
tango
fête
Ça vous laisse imaginer ce que peut être cette ville.
Bien-sûr, un compte-rendu détaillé des us et coutumes des porteños, ses habitants (on se demande bien quel est le lien avec "Buenos Aires"), avec de nombreuses photos à la clé, sera fait dans les prochains articles. Restez connectés !

3 commentaires:

  1. Un petit commentaire www.365buenosaires.com :
    Les habitants de Buenos Aires sont appelés « porteños » en référence à leur condition de « fils du port ».

    Le port de Buenos Aires est le plus important du pays. Il a engendré une concentration humaine importante, un fort contingent d’immigrants et un centre de commerce et de services sans commune mesure. L’installation de l’industrie a généré une identité distinctive des citoyens « porteños », différenciée de celle des citoyens des autres provinces de par la pluralité de leurs origines.

    Le pouvoir que cette naissance constitue en soi a encouragé une croissance urbaine sans égal sur le territoire argentin.

    D’un point de vue historique, les quartiers de Barracas et de La Boca, centres par excellence des industries naissantes, et leurs habitants – favorisés par l’immigration principalement originaire de Gênes – ont constitué une colonie croissante de communes ouvrières.

    De même, la Place de Mai (Plaza de Mayo), proche de la côte, a été l’emplacement central des habitants de Buenos Aires, non seulement en tant que lieu de résidence mais également comme siège naturel du commerce, de la religion et de la culture.

    C’est là qu’ont été édifiées à la même époque, la Cathédrale métropolitaine, des églises majeures, la Casa Rosada (siège du gouvernement), et le quartier financier représenté par les principales banques nationales et internationales.

    Dans le même esprit, la ville de Buenos Aires a fondé ses éminentes institutions éducatives pour montrer l’exemple à un continent dont les habitants étaient demandeurs de progrès : l’Université de Buenos Aires, la Bibliothèque Nationale, l’Université Technologique Nationale, le Conservatoire National de Musique, et l’Académie Nationale des Beaux-Arts en font partie.

    De cette façon, l’idiosyncrasie « porteña » a commencé à se former avec un dynamisme comparable à celui de la croissance démographique et l’évolution montante de la ville.

    Une idiosyncrasie inhérente à un peuple fier de ses progrès, conscient de son avance, ayant accès à la culture, étant d’ascendence européenne (principalement italienne), et se projetant en permanence dans la rénovation et la modernisation dans le but de souligner son hégémonie sur les villes de la République Argentine et de consolider une place privilégiée parmi les grandes villes de la planète : cette attitude active et persévérante constitue le coeur de la nature des « porteños ».

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  2. Merci à l'office du tourisme francophone de Buenos Aires pour ce commentaire fort complet et instructif !

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  3. Salut Dominique

    Nous venons d'arriver à Buenos Aires.
    Nous sommes a l'hotel artfactory 545 rue piedras (il est dans le lonely) chambre 19

    Où es-tu ?
    On part jeudi pour Montevideo
    On voudrait te revoir d'ici là...

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