Le monument aux mineurs, dans un style très "socialiste soviétique".
Derrière la ville, des collines, et dans ces collines, du cuivre, de l'argent, de l'étain, fondements de l'économie locale. L'histoire a commencé quand Simon Patiño, un régional de l'étape, acquit une mine d'étain en 1897, non loin d'Oruro. Dans les années 1920, cet homme qui controlait la moitié des ressources d'étain du pays décida d'émigrer au Royaume-Uni, emportant avec lui les bénéfices de cette industrie. Manifestations, protestations menèrent à la nationalisation des mines dans les années 50 puis à la re-privatisation dans les années 80. Aujourd'hui elles ont pratiquement toutes fermé ; celles qui demeurent sont exploitées par des coopératives de mineurs.
Tout cela est assez émouvant je dois dire... pour moi qui ne suis pas à proprement parler une fille du nord.
El Tío, esprit du monde souterrain
Je recherche les traces de mon oncle BERNARDI Bartolomeo né en 1893 et décédé dans une mine en Argentine dans les années 1918-1925
RépondreSupprimerAuriez-vous quelques adresses à m'indiquer ?
Merci.
Je ne connais pas les mines argentines.
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