Il ya toujours un moment en vacances où l'on se dit qu'il va falloir songer à rentrer bientôt, à reprendre le travail et le train-train quotidien.
Pour moi, il y a des signes : les attaches de mes chaussures de marche qui lâchent toutes en même temps - heureusement qu'il y a encore de bons cordonniers -, mes tongs qui lâchent le même jour, le décompte du temps qui reste qui se fait en semaines et plus en mois, les voyageurs de plus en plus nombreux à qui il reste plus de temps que moi, et surtout cette désagréable nécessité de planifier. Jusqu'à Buenos Aires, j'allais où le vent me poussait. Aujourd'hui je suis obligée d'identifier ce que je voudrais encore faire pour prévoir à l'avance mon parcours... et m'apercevoir que ça ne va pas coller !
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Côté positif : revoir bientôt ses vieux amis ... et réver au prochain voyage surement!
RépondreSupprimerRêver au prochain voyage, ça fait longtemps que ça a commencé.
RépondreSupprimerEt pourquoi "vieux" ?